Les puits de trois châteaux du comté de Namur en vallée mosane : Poilvache, Bouvignes et Montaigle

 

Introduction

Aujourd’hui comme au Moyen Âge, s’hydrater est d’avantage indispensable pour le corps que s’alimenter. À ce titre, dans le château, le puits joue un rôle essentiel dans l’approvisionnement en eau. Cependant, nos lointains ancêtres consommaient l’eau avec prudence en raison du risque élevé de contamination bactériologique, lui préférant le vin et la bière. Qu’elle soit intentionnelle ou accidentelle, la contamination de l’eau du puits peut en interdire sa consommation pour une durée plus ou moins longue. Aussi, son accès est bien souvent protégé par une série d’aménagements : appentis, margelle et trappe de fermeture.

Afin d’accroître les réserves en eau du château et pallier éventuellement aux inconvénients d’une contamination de l’eau du puits, on construit des citernes enterrées ou semi-aériennes munies de systèmes de filtration remplies par les eaux collectées depuis les gouttières des toitures des édifices du château. L’eau de pluie est ainsi utilisée comme eau de consommation souvent préférée à celle du puits.

En fonction des lieux où s’implante le château, l’eau de consommation peut également être puisée depuis une source extérieure et ensuite être acheminée au moyen de barriques vers le château.

Si les occupants du château tendent à préférer la consommation de l’eau de pluie à celle du puits, quelle est dès lors la destination de l’eau de celui-ci ? Plutôt qu’une consommation domestique — exception faite en cas de siège —, sans doute faut-il lui trouver une utilisation davantage axée vers l’abreuvage des animaux présents dans les écuries et les étables des complexes castraux, le nettoyage des espaces de vie ou encore la lutte contre l’incendie.

Contraintes techniques

Le puits est indissociable du château. Lorsque ce dernier est construit sur un éperon rocheux, son creusement se révèle être une véritable prouesse technique. En effet, le rocher doit être débité sur une profondeur pouvant atteindre plusieurs dizaines de mètres avant d’accéder à des venues d’eau ou à la nappe phréatique. Ce travail nécessite d’être commencé au début de l’édification du château mais ce principe n’est pas toujours rencontré1. En outre, la dureté de la roche conditionne la rapidité d’exécution du creusement pouvant s’étaler sur plusieurs années. Ce travail éprouvant est confié à une main-d’œuvre spécialisée : des ouvriers carriers appelés rocteurs. Le creusement d’un puits est une entreprise dispendieuse comportant une part importante d’incertitude quant au résultat.

Creuser un puits est une entreprise qui requiert la mise en œuvre de moyens techniques particuliers. Le déplacement de blocs pondéreux, l’évacuation des débris de pierre et la vidange de l’eau accumulée dans le fond du puits en cours de creusement sont effectués au moyen d’un engin de levage (cage d’écureuil), avec treuil et poulies, installé sur le puits. L’approfondissement est réalisé à l’aide de pics, de coins, de barres à mine, de burins et de maillets. Les rocteurs battent les bancs de pierre qu’ils débitent en blocs. Ils veillent également à conserver l’aplomb et le diamètre du puits déterminé initialement. L’accès des ouvriers au chantier se fait au moyen d’échelles de cordes. Lorsqu’un cuvelage doit être réalisé en pierre de taille, la cage d’écureuil permet d’acheminer les matériaux avec plus de facilité2.

Réaliser un puits n’est pas sans risques. Les grandes profondeurs posent, dans certains puits, un problème de ventilation. Des gaz lourds peuvent s’accumuler dans le fond et risquent d’asphyxier les ouvriers. Le puits est alors ventilé au moyen d’une cheminée de ventilation à l’extrémité de laquelle un feu est allumé permettant la création d’un courant d'air frais.

Dans la vallée de la Haute-Meuse, l’alimentation du puits est favorisée par la nature du substrat calcaire composé de bancs rocheux, de diaclases et de cavités propices aux écoulements des eaux souterraines, appelés phénomènes karstiques. Cette situation particulière est favorable aux écoulements des eaux souterraines entre les bancs calcaires. Ainsi, il n’est pas toujours nécessaire d’atteindre la nappe phréatique pour qu’un puits se remplisse.

Le creusement des puits des châteaux de Poilvache, Bouvignes et Montaigle présentés dans le présent article procède d’un mode opératoire similaire. Les puits de Bouvignes et Poilvache sont relativement proches par leur diamètre et leur profondeur. Ils sont dépourvus de cuvelage en maçonnerie ; la roche calcaire est soigneusement taillée à l’outil. Le puits de Montaigle est différent. D’un diamètre plus petit, il est entièrement cuvelé en pierres de taille.

Poilvache

Le puits principal de Poilvache est situé dans la partie « château » du site, au centre d’un espace ouvert (cour ?) entouré de bâtiments. Une margelle en pierre de taille de quatre assises et une lourde grille d’obturation moderne en protègent l’accès. Taillé dans le calcaire, son diamètre est de 2,50 m et sa profondeur de 55,50 m.

En dépit de la présence de plusieurs citernes sur le site de Poilvache3, lors d’un siège de la forteresse en 1238, le chroniqueur Aubry de Troisfontaine souligne le peu de réserves en eau du château pouvant entraîner la reddition de la garnison4

Vestiges d’une citerne du château de Poilvache. Carte postale (coll. de l’auteur)
Vestiges d’une citerne du château de Poilvache (carte postale, coll. P. Saint-Amand)

Le puits est signalé dans la comptabilité du comté de Namur en 1371-1372. Un marché est passé avec maître Colart Binet et son frère Pierechon qualifiés de maçons pour paravaler (approfondir) et parfaire bien et loyalement au fier et au maillet le puits du château de Poilvache5. Cette mention atteste donc de l’existence du puits à cette époque. Rencontre-t-il des problèmes d’alimentation ? Il n’est pas interdit de le penser. Au cours de l’année 1370-1371, les maçons l’approfondissent de 4 pieds (environ 1,20 m). À la Sainte-Catherine 1371 (25 novembre), il est à nouveau excavé, cette fois de 12 pieds (environ 3,60 m). Le greffier précise que maître Colart Binet tombe malade et décède pendant l’année du compte. Le travail doit s’interrompre car le Receveur n’enregistre pas la somme de 43 moutons restant due par marché passé avec le maître maçon et devant couvrir le reste du travail d’approfondissement d’une dizaine de pieds (environ 3 m). Le marché porte donc sur un recreusement du puits d’environ 8 m. Cette mention serait-elle à l’origine de l’idée reprise par nombre d’auteurs relative à l’inachèvement du puits de Poilvache ? En effet, l’idée que le puits du château de Poilvache ait été inachevé pour une raison indéterminée a été évoquée récemment6. Le rapport de l’équipe de l’ARAS7 ayant procédé à son dégagement contredit pourtant cette idée.

Selon Galliot, lors du siège de Poilvache de 1430, « un boulet de canon ayant donné contre une muraille du seul puits qu’ils eussent, les eaux en furent tellement gâtées, qu’on ne put plus s’en servir »8.

En 1879, F. Donny assure que le puits est comblé jusqu’à 11 m sous la surface9. En 1905, lors de travaux entrepris pour le vider, son niveau de comblement se situe à 15 m sous la surface. Ces travaux auraient permis d’atteindre le fond à une profondeur hypothétique de 70 m10 tandis que la littérature touristique de l’entre-deux-guerres évoque diverses profondeurs : 68 et 75 m11. C’est finalement l’équipe de Claude Kahn qui met fin aux spéculations fantaisistes. Au printemps 1985, l’ARAS entame le chantier de décomblement du puits de Poilvache dont le niveau de remblais est situé à 42 m sous la surface12. Les travaux qui débutent à la bonne saison sont prévus sur trois années. À 50 m, l’eau fait son apparition et un système de pompage est nécessaire afin de poursuivre les dégagements. Le fond est atteint le 15 août 1988 à une profondeur de 55,50 m13. Une quarantaine de boulets de pierre de 30 à 65 cm de diamètre sont découverts et extraits du fond du puits14. Son alimentation procède vraisemblablement d’une série de venues d’eau s’écoulant à travers le substrat calcaire. 

Le puits de Poilvache (photo © MPMM)
Le puits de Poilvache vers 1900. Carte postale (coll. de l’auteur)
Le puits de Poilvache vers 1900 (carte postale, coll. P. Saint-Amand)
Vue intérieure du puits de Poilvache (photo Cl. Kahn)
Vue intérieure du puits de Poilvache (photo © Cl. Kahn)

L’approvisionnement en eau du château semble avoir été une des préoccupations des occupants de Poilvache. Aussi, la création d’un second puits (ou puits de secours) est réalisée dans un ressaut rocheux à mi-pente du massif calcaire surplombant le village de Houx15. D’un diamètre de 1,60 m, il présente actuellement une profondeur d’environ 8 m16.

Vue de l’ouverture du puits de secours de Poilvache depuis le fond (photo P.-H. Tilmant  © SPW-AWaP)
Vue de l’ouverture du puits de secours de Poilvache depuis le fond (photo P.-H. Tilmant © SPW-AWaP)
Paroi du puits de secours de Poilvache. Traces d’outil dans la roche calcaire (photo P.-H. Tilmant © SPW-AWaP)
Paroi du puits de secours de Poilvache. Traces d’outil dans la roche calcaire (photo P.-H. Tilmant © SPW-AWaP)

Enfin, F. Donny évoque dans son rapport de 1879 l’existence d’un autre puits dans les environs de la tour du Midi : « Á côté de cette tour et en dessous de son niveau, se trouve un puits creusé dans le roc et ayant encore 15 mètres de profondeur : sa largeur est de 2 mètres 50 »17. En dépit de l’imprécision quant à sa situation et d’une discordance avec le diamètre du puits de secours évoqué ci-dessus, il est toutefois permis de penser qu’il s’agit du même puits.

Bouvignes

Le puits du château comtal de Bouvignes est situé dans la partie supérieure du promontoire rocheux. Il est adossé à la face nord d’un donjon érigé à la fin du XIe siècle ou au début du XIIe siècle18. Son creusement daterait des XIIe ou XIIIe siècles. Il fut redécouvert au milieu du XIXe siècle et vidé en 1858. À l’approche du fond, de nombreuses pièces d’artillerie à poudre sont découvertes dont un veuglaire et une couleuvrine du XVe siècle19.

Une citerne d’une capacité de plus de 100.000 litres assure avec le puits l’approvisionnement en eau du château comtal20. Par ailleurs, mentionnons l’existence d’une citerne aménagée dans les soubassements du donjon de Crèvecœur. Elle est alimentée par un conduit intra-mural recevant les eaux des toitures21.

Coupe sud-nord du puits du château comtal de Bouvignes. Levés réalisés en mars 2001 par R. Grebeude et P. Saint-Amand. Échelle : 1/150e.
Coupe sud-nord du puits du château comtal de Bouvignes. Levés réalisés en mars 2001 par R. Grebeude et P. Saint-Amand. Échelle : 1/150e

 

La lèvre du puits s’ouvre actuellement à 48 m au-dessus du niveau de la Meuse. Il présente un diamètre constant de 2,70 m et une circonférence de 8,80 m. En 2001, son comblement atteignait une profondeur de 32 m22. Sa margelle d’origine a pratiquement disparu. Son accès est protégé par un muret édifié après les travaux de 1858 surmonté d’un garde-corps en fer forgé. L’ouverture du puits est cuvelée en pierre de taille sur une profondeur variant entre 1,70 m au sud et 3,85 m au nord en raison de la dénivellation du socle rocheux. Au-delà, la roche en place se substitue au cuvelage avec lequel il s’ajuste très soigneusement. On note les traces d’impacts d’outils sur toute la paroi du puits. Selon les travaux de Charin, le fond aurait été atteint à environ 40 m ce qui ne permet pas d’envisager que la nappe phréatique ait été recoupée. L’intense percolation des bancs calcaires, l’effet drainant du puits et la présence locale d’un écoulement karstique pourraient dès lors justifier à eux seuls de son alimentation. « Á Bouvignes, le substrat est constitué de roches calcaires fortement plissées aux bancs très redressés. A hauteur du château, le pendage est de 45°. Les strates plongent au nord vers l’église et le centre de la localité. Les circulations d’eaux sont tributaires des systèmes karstiques et donc essentiellement souterraines. Ce système karstique, plus ou moins perpendiculaire à la Meuse, aboutit dans celle-ci en passant sous le village de Bouvignes et joue un rôle de collecteur des eaux d’infiltration et des pertes venant de l’amont du ravin de la Val et de Sommière, ainsi que des abords sud de cet axe. Toutes les eaux pluviales et tous les ruisseaux sont collectés sur une superficie de plusieurs kilomètres carrés »23

Plan de phases du château comtal de Bouvignes d’après G. Amand de Mendieta. Légende : 1. Tour porche, entrée principale au sud. 2. Cave. 3. Donjon. 4. Puits. 5. Citerne transformée en corps de garde. 6. Cave. 7. Tour médiane. 8. Habitation du Receveur ou Chairie. 9. Emplacement supposé du pont d’accès. 10. Accès piétonnier au nord. 11. Tour de guet nord-ouest. 12. Église Saint-Lambert.
Plan de phases du château comtal de Bouvignes d’après G. Amand de Mendieta. Légende : 1. Tour porche, entrée principale au sud. 2. Cave. 3. Donjon. 4. Puits. 5. Citerne transformée en corps de garde. 6. Cave. 7. Tour médiane. 8. Habitation du Receveur ou Chairie. 9. Emplacement supposé du pont d’accès. 10. Accès piétonnier au nord. 11. Tour de guet nord-ouest. 12. Église Saint-Lambert
Le puits du château comtal de Bouvignes (photo P. Saint-Amand, 2001).
Le puits du château comtal de Bouvignes, 2001 (photo © MPMM)

Montaigle

À Montaigle, une tour-citerne rectangulaire érigée au XVe siècle est accolée à la courtine nord-est du château24.

Le puits est situé dans la cour supérieure du château. Il est taillé en cylindre dans le calcaire de l’éperon rocheux servant de socle au château. Son alimentation est assurée par une source située au nord dans le fond de la vallée du Flavion, en contrebas de la cour du château25. Sa profondeur est de 33 m pour un diamètre de 1,50 m. La margelle d’origine en pierre de taille se compose d’une assise26. Une grille en fer forgé ferme son ouverture. Le puits est entièrement cuvelé en moellons de calcaire réguliers et assisés27. Dans le fond, quatre arcs de décharge en arc brisé à claveaux servent d’assise à la maçonnerie du cuvelage qui s’élève sur une trentaine de mètres. La découverte de plusieurs monnaies, des doubles tournois de Philippe le Bel (1285-1314), dans des anfractuosités du rocher au fond du puits pourraient constituer une indication quant à l’époque de son creusement28.C’est en effet à cette époque que s’achève la construction du premier château comtal de Montaigle. Au XVe siècle, le puits est abrité dans un petit édicule en moellons accolé à la courtine nord29. À proximité, un dispositif de puisage plutôt rare en vallée mosane est aménagé dans un cône en maçonnerie de calcaire creusé dans le sol. Une crapaudine métallique disposée en son centre reçoit l’axe d’un mécanisme composé d’une roue horizontale et d’une roue verticale. Un treuil de levage remonte ou descend les seaux dans le puits30.

Le 27 mai 1979, débutent les premiers travaux de vidange du puits sous la direction de Claude Kahn (ARAS). À cette époque, le niveau de comblement atteint 5 m sous la surface. Le chantier progresse lentement. Il est tributaire des aléas de la météo, du personnel et des moyens techniques. Le 15 août 1983, l’eau fait son apparition à une profondeur de 30,80 m. Une pompe est installée et les travaux se poursuivent jusqu’au 9 octobre 1983, le fond est alors atteint à une profondeur de 32,95 m. Le matériel archéologique découvert est constitué de cuillers en laiton, de couteaux, de clous, de carreaux d’arbalètes, de pointes de flèches, de céramiques, de boulets de canon, de monnaies et de cuirs de chaussures31.

Relevés des parements du puits de Montaigle (détail) et vue en coupe du fond par C. Kahn, B. Pierre et Ph. Bragard, 1984.
Relevés des parements du puits de Montaigle (détail) et vue en coupe du fond par C. Kahn, B. Pierre et Ph. Bragard, 1984
Plan du château de Montaigle au XVe siècle. 1. Le puits ; 2. La citerne (d’après MIGNOT P., Archéologie de quelques châteaux du comté de Namur : Montaigle, Hour et les autres, dans Annales de la Société archéologique de Namur, t. 69, 1995, p. 131)
Plan du château de Montaigle au XVe siècle. 1. Le puits ; 2. La citerne (d’après MIGNOT P., Archéologie de quelques châteaux du comté de Namur : Montaigle, Hour et les autres, dans Annales de la Société archéologique de Namur, t. 69, 1995, p. 131)
Un des quatre arcs de décharge du puits de Montaigle (photo Cl. Kahn).
Un des quatre arcs de décharge du puits de Montaigle (photo © Cl. Kahn)

Bibliographie

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SAINT-AMAND 2017 : SAINT-AMAND P. et TILMANT P.-H. (dir.), Poilvache, une forteresse médiévale en bord de Meuse, Namur, 2017 (Carnets du patrimoine ; 151).

TILMANT 2013 : TILMANT P.-H., Forteresse médiévale de Poilvache Yvoir (Haute- Meuse Dinantaise), Guide du visiteur, s.l., 2013.

MAISON "AU GRAND PIGNON" - DESCRIPTION

Pierre-Hugues Tilmant

QUOI DE NEUF A POILVACHE ?